grands formats

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l’appel de la forêt 195 x 130 cm

Chinon

bord de Loire 146cm x 97

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saules au printemps 146x 89 cm

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petite lumière d’espoir  118 x89 cm

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le géant 162 x 114 cm

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saule de Loire 162 x130 cm

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la forêt de Saché 116 x 97 cm

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Candes Saint Martin 130 x 97 cm

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paysage de Mayenne 162 x 130 cm

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le bois de Jeremy 116 x 97 cm

formats moyens grands

près de la Motte de Bois Robin 73 x 20 cm

 

loire vue de la Perraudière 92 x 73 cm

 

 

la forêt de Fontainebleau 100 x 81 cm

 

espace silencieux 73×60 cm

 

explosion printanière 73 x 60 cm

 

la sortie du bois 100×81 cm

 

 

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la branche cassée 81 x65 cm

 

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prairie près de l’Indre 73 x 54 cm

 

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la Loire face à Langeais 73 x 54 cm

 

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l’arbre au dessus de la mare 73 x 60 cm 1600 €

 

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Loire avec pêcheur 73 x 54 cm

 

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la mare 73 x 54 cm

 

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auprès de mon arbre 73 x 54 cm

 

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au temps de champignons 73 x 60cm

 

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la Loire monte 73 x 60 cm

ma vie de peintre

     je peins depuis…? J’avais 13 ans. Lors d’une rétrospective je présentai une gouache datée de 1957, une autre probablement de l’année suivante, une huile de 1960 : j’avais alors 19 ans

     Marié très jeune , je dois rapidement gagner ma vie pour ma famille et je ne peins plus que rarement ( un peu tout de même durant mon service militaire) . Je  rencontre alors des élèves des Beaux-Arts (ou prétendus tels) qui n’en savaient me semble-t-il, guère plus que moi.
    Je me remis sérieusement à peindre en 1966. Je fis une rencontre déterminante l’année suivante à Saint Patrice. Moi qui n’écoute les conseils de personne, je sus tout de suite que cet homme âgé qui me critiqua très sévèrement au début allait m’éclairer. Il m’envoya apprendre le dessin à l’Ecole des Beaux Arts à Tours en auditeur libre. Je fus un élève assidu, volontaire et appliqué. Je fis de la copie (Ruysdael, Corot, Léonard de Vinci, Raphael, Lenain,Van Goyen, Turner, Goya, Le Titien,etc…)
    Mon vieil ami m’avait donné un conseil utile:  » n’exposez jamais une peinture que vous regretteriez plus tard d’avoir montrée » . Aussi je patientai longtemps avant de faire voir mon travail. Tant que je ne me sentis pas suffisamment formé je restais à apprendre. En 1975, enfin j’obtins un prix dans un Salon. En 1979 à ma première présentation je fus sélectionné au Salon des Artistes Français au Grand Palais, j’étais heureux mais je me sentais bien petit par rapport à certains peintres de notoriété. En 1985 j’obtins la médaille de bronze au Salon et devins Sociétaire en 1986. Je devais rester Sociétaire jusqu’en 2004, date  à laquelle, fatigué des voyages à Paris j’abandonnai . Pourtant les Paysagistes Français me décernèrent cette même année leur prix national.
     J’avais eu parallèlement un autre métier jusqu’en 1996 où, après des décennies d’attente , je pus me consacrer entièrement à ma passion.
     En 1994 j’avais ouvert le week-end mon atelier-galerie au public et alors je pouvais tout!
     Aujourd’hui , je continue à apprendre, en sachant que je sais bien peu de choses malgré mes recherches, mes voyages plus qu’annuels au Louvre . Ce qui me désole ce sont les prétendus peintres, satisfaits et souvent débutants qui se vantent sans vergogne et avec stupidité alors qu’ils ne savent rien, malgré ce qu’ils croient ou ce qu’ils affirment parfois. Il suffit de comparer et d’essayer de comprendre les compétences des peintres de la renaissance, puis des 17e,18e et 19e siècles, pour comprendre notre ignorance.
   Au nom de la spontanéité on fait fi du savoir qui est devenu ringard, ce qui fait le bonheur des critiques, des médias, des politiques et des snobs ignares et prétentieux. On voit toutes sortes de folies de la mode inconstante, des tentatives avortées d’apprentis sacrés peintres avant d’avoir appris les rudiments.   On achète de la couleur et des pinceaux et on est artiste; et on le crois dur comme fer! Il n’y a qu’à visiter les différents Salons où se côtoient quelques bonnes toiles parmi un fatras de médiocrités prétentieuses, sans aucun intérêt artistique qui ont pour effet de banaliser la médiocrité. Le public , submergé par la médiocrité a perdu tout repaire lorsqu’il tente de s’intéresser à l’art .
     Avant d’être artiste il faut être artisan. II faut analyser , comparer , réfléchir sur sa démarche et travailler sans cesse en voulant toujours aller plus loin. Sans oublier de se remettre en question .
     Aujourd’hui, ce n’est plus « l’artiste » qui créait , c’est le spectateur qui doit imaginer…Alors le spectateur  admirateur devient investi dans l’oeuvre . Quel charlatanisme ! où est l’émotion dans tout ça?
     La spéculation s’est emparée  du sujet, comme du reste d’ailleurs , il ne s’agit alors plus là d’Art. On le voit aujourd’hui avec la FIAC: même la presse parle des difficultés de la spéculation dues à la crise économique. Quel aveu!
         Il faut se demander pourquoi tel peintre, ni plus ni moins doué que les autres sort du lot, et là on perd tout repère! Il ne s’agit pas d’avoir du talent mais de le faire croire en utilisant un vocabulaire abscons capable de séduire les ignorants béats d’admiration ( et on en entend de belles et de toutes sortes et en quantité ! )
     L’Art, qui dépend de la spéculation, ne devrait pourtant rien à voir avec le fric…et pourtant… La culture disparait dans le maelstrom du pognon.
      L’inculture est générale et en particulier dans le monde de la finance ou du pouvoir. Tant et si bien que le public a perdu tout repaire, il ne s’agit plus de Beaux Arts mais de « création ». Créer, la belle affaire , tous les enfants sont créateurs… Chaque « artiste » est parfaitement heureux et fier d’exposer son incompétence puisqu’il ne la comprend pas! Ceci ajoute au désarroi du public .
                         APRES LE SAVOIR VIENDRA PEUT-ETRE  LE TALENT.
     Même le terme  » Beaux-Arts  » est devenu  » arts plastiques ». La conséquence est qu’on peut faire n’importe quoi en affirmant que c’est de l’Art, et tout détracteur devient un ringard butté.  Depuis le temps que je fréquente les musées , les livres sur l’Art, les Salons, j’ai cru longtemps que je ne comprenais rien à l’ Art contemporain , et puis peu à peu j’ai compris que c’était presque toujours du grand n’importe quoi !    Et pour alimenter tout ça , on en entend de belles , des discours  sans signification qui par leur insignifiances se veulent supérieurement  intellectuels , alors que ces discours sont seulement là pour « faire croire ». Il faut tout de suite éviter que le spectateur se fasse une idée par lui même.
         IL N’EST PAS NECESSAIRE D’AVOIR DU TALENT IL SUFFIT DE LE FAIRE CROIRE ,
     J’aime la beauté. J’aime admirer un matin de septembre sur la Loire, d’où on revient transformé, sublimé, la tête dérangée, mais combien comblé. Octobre en forêt reste toujours un éblouissement. Lorsqu’ alors je rentre chez moi je plains sincèrement ceux qui ne connaissent pas ces bonheurs si simples et pourtant si forts. Pourquoi chercher à comprendre alors que  la mode sert de guide,  les snobs  et le fric servant de modèle ? L’égo est là pour combler les lacunes.
      Bien sûr je ne détiens pas la seule vérité mais mon expérience, ma réflexion sur le sujet me permettent de présenter quelques arguments dérangeants face à l’intelligentsia actuelle.
      Je reste en marge des modes et bien tant mieux! Et comme disait Sacha Guitry (peut-être):
                                            LA MODE C’EST CE QUI SE DEMODE
     Pourtant, malgré les apparences, je suis pris parfois de doutes douloureux. je suis presque toujours désenchanté par ce que je vois autour de moi, désenchanté aussi,  et souvent aussi par mon travail (et ce n’est pas de la fausse modestie ). Quelques artistes parfois, peu connus sortent du lot mais restent dans l’ombre . Quel gâchis ! et aussi quel régal lorsque je les découvre .
     Le peu que je sache aujourd’hui , je le dois pour une grande part à Kleber Chapet (sans oublié sa délicieuse épouse) qui m’a ouvert les yeux, et pour un peintre ce n’est pas rien. Paix à ces gens qui furent exceptionnels pour moi
.
 des livres à lire pour comprendre:
les mirages de l’art contemporain de christine sourgins  édition la table ronde
l’art caché de aude de kerros édition eyrolles
la grande falsification de jean louis harouel éditon jean cyrille godefroy

                                  palmarès

j’ai travaillé bien des années avant d’avoir osé exposer . Je me suis lancé  lorsque j’ai cru avoir atteint un niveau correct. Mais aujourd’hui j’en doute maintenant que je connais mieux la peinture .

 

1975 prix du public à Azay le Rideau

1975 salon des peintres PTT ministère Paris

1977 sélectionné aux exposition des peintres postiers à Oxford et Maastricht

1978 prix d’Honneur à Artannes sur Indre

1978 Grand Prix du Conseil général à Azay le Rideau

1978 Grand prix de la Ville de Descartes

1978 prix du public à Descartes

1978 prix du Salon de Joué les Tours

1979 prix Hallaire Salon de Blois

1979 prix du Chevalet de Touraine (médaille d’argent)

1979 admis au Salon des Artistes Français au Grand Palais

1980 prix de peinture au salon de Luynes

1980 admis au Salon des Artistes Français à Paris

1980 remarqué par la presse au salon de Loches

1980 dix peintres à Joué les Tours

1981 Invité d’Honneur au salon de Descartes

1981 prix du Chevalet de Touraine à Tours

1981 admis au Salon des Artistes Français à Paris

1984 prix du Crédit Agricole à Sainte Maure de Touraine

1984 Invité d’Honneur à Beaumont la Ronce

1985 promotion des Arts bibliothèque de Tours

1985 prix de peinture à Beaumont la Ronce

1985 prix du public au salon d’Azay le Rideau

1985 médaille de bronze Salon des Artistes Français au Grand Palais

1985 prix du salon à Joué les Tours

1986 deviens Sociétaire des Artistes Français

1988 prix du salon au Ripault

1990 grand prix du salon de Veigné

1992 prix du Conseil Généra de Veigné

1992 prix de peinture à l’huile à Beaumont la Ronce

1994 prix de l’Atelier des Arts à Veigné

1995 prix du salon de la Société d’Etudes du Val de l’Indre

1995 Invité d’honneur du salon de Langeais

1995 Grand prix du salon de Vouvray

1996 prix du jury à Vouvray

1998 prix du Conseil Général à Vouvray

1998 prix de la Ville de Veigné

1998 prix de l’Assemblée Nationale Médaille d’Argent à l’Ile Bouchard

1998 admis au Salon Violet à Paris

1999 prix du public au salon de Saint Avertin

1999 Grand prix de la Ville de Saint Avertin

2000 exposition personnelle au Prieuré de Saint Cosme à Tours

2004 MEDAILLE D’OR DE LA VILLE DE TOURS

2004 PRIX NATIONAL DES PAYSAGISTES FRANCAIS salon des Artistes Français Paris

2005 coup de coeur au salon de sainte Maure de Touraine

2009 prix Ballue à Descartes

2017 prix Ballue à Descartes

                             INVITE D’HONNEUR

Descartes, Langeais, Lavardin, Azay le Rideau,Château Renault,  Veigné, Château la Vallière,Beaumont la Ronce,le Ripault, Esvres, Azay sur Indre, Chanceaux près Loches,  Chanceaux sur Choisille, Joué les Tours, Nazelles, Saint Ouen les Vignes, Limeray,Tours, Sainte Radegonde, Art et Poésie de Touraine, Cinq Mars la Pile,

                   EXPOSITIONS PERSONNELLES

Faculté des sciences à Tours, Carroi des Arts  Montouis sur Loire, galerie Hélicon à Tours, Prieuré de Saint Cosme à Tours, bibliothèque de Bréhémont, médiathèque d’Artannes sur Indre, Saint Patrice, la Péraudière Saint Cyr sur Loire, magasin Cooleurs à Chambray lès Tours, Galerie François 1er à Loches, Maison de la Forêt à Montamisé (trois fois) , 50 ans de peinture à Artannes sur Indre, rétrospectine à Artannes sur Indre .

en permanence  à L’atelier-galerie de la Fontaine Sainte à Artannes sur Indre

                           GALERIES DIVERSES

ART’EX Barbizon, galerie Amalvy Valence, Entre Sable et bruyère Saint Benoit sur Loire, galerie des Sables à Pornic, Galerie des Forges à Viré en Champagne, Galerie Vents du Sud à Nantes, galerie encadrement à Saumur,Gallery La Palette Hinsdale Illinois USA, Matignon Gallery Chicago USA,Château de Villeneuve Sablé sur Sarthe,Galerie Feeling Lourmarin, l’atelier d’Agnès Loches antiquaire Fontevrault, Galerie Diane de Méridor Montsoreau,  .

               OEUVRES DANS DES COLLECTIONS PRIVEES

France, Italie,Allemagne,Pays Bas, Canada, Suisse,USA, Grèce, Grande Bretagne, Australie, Eire, Norvège